Comme chaque année, le mois de mai est synonyme de gorge qui pique, de nez qui coule et d'yeux complètement irrités. Déjà que je fais la ronde des médicaments pour trouver un équivalent belge à celui qui fonctionnait le mieux pour moi à Montréal, je dois aussi faire face à une nouvelle réalité: la campagne. Quand le Ikéa devient une porte de salut parce qu'il y a peu d'échanges d'air, la situation devient critique...
Essayez de lire avec une compresse d'eau froide sur le visage... Oui, je sais, il y a les livres audios. C'est d'ailleurs à suivre dans la bande dessinée de la semaine prochaine !
Parcourir les archives |
Nouveau commentaire