L’arrivée des loups à Fonfroide n’est pas bien vue par tous les habitants, mais Benjamin voit en eux le sujet de son documentaire et Abel sent qu’il leur est lié plus qu’il est raisonnable de le croire. Dans le froid, les esprits se rencontrent, s’entrechoquent. Devant la violence, la peur, Abel sent que le loup en lui peut prendre le dessus. Et si, pour protéger les siens, la seule solution était de quitter la meute ?
Avec ce roman, Aurore Gomez parle de famille, d’adolescence, de secrets et de rivalité. Entre psychologie et fantastique, il vise les lecteurs intermédiaires et avancés.
J’ai beaucoup aimé L’espoir sous nos semelles, premier livre d’Aurore Gomez. Si je n’ai pas été autant emballée à la lecture de celui-ci, j’y ai tout de même retrouvé plusieurs qualités du premier : une histoire multiple avec des personnages qui possèdent plusieurs zones d’ombre, pas toujours dévoilées malgré un narrateur omniscient, des adolescents résilients, des liens forts, une intrigue où chacun doit se dépasser et des descriptions de la nature à couper le souffle. La structure est toutefois particulière ici et ne sert pas nécessairement le propos. Il y a du suspens, notamment avec Abel et son impression tenace d’être un loup même si es preuves sont minces, mais la montée dramatique est en dents de scie et j’ai décroché par moment. Néanmoins, j’ai aimé le traitement des thèmes, autour d’Abel, oui, mais aussi du surpoids de Benjamin, du déchirement de la sœur et la finale, surprenante (et aborde un thème important que je ne peux pas révéler ici au risque de gâcher votre plaisir), sans doute le meilleur moment du récit.
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Bonjour j'ai adoré votre Livre : L'espoir sous nos semelles. J'ai adoré cette fille, juno qui rencontre Sirius et son trek.
Vous raconter super bien cette histoire.
Merci beaucoup.
Au revoir