Gaspard a beau avoir une peur maladive des mascottes, quand la fille qui l’intéresse lui demande de l’aide, il dit oui. Il est même prêt à enfiler un vieux costume retrouvé dans une malle lorsqu’il ne trouve pas l’habit habituel du Kodiak. Mais sortir cet ours miteux et pourri de l’intérieur pourrait bien l’entrainer sur un chemin bien dangereux. Et quand les disparitions se multiplient autour de lui, Gaspard comprend qu’il va devoir agir avant qu’il ne soit trop tard.
Roman d’horreur à destination d’un public de préadolescent.es, La mascotte offre une intrigue assez classique et accessible, composée de phrases simples.
J’aime bien cette collection des éditions Z’ailées parce qu’elle propose des histoires qui sont très accessibles, donc qui peuvent rejoindre un public plus jeune, mais aussi soutenues sur le plan de la peur, donc qui peuvent plaire à un lectorat plus âgé. Ici, on est dans l’assez classique, avec une montée dramatique constituée d’une suite de disparitions… et de réapparitions, la mascotte refusant de « partir ». Les phrases sont simples, l’ensemble manque parfois un peu de souffle littéraire. C’est toutefois efficace et j’avais bien hâte de connaitre le dénouement qui, je dois l’avouer, m’a surprise. Je ne sais pas encore d’ailleurs ce que j’en pense… mais je suis impatiente de raconter ce livre dans les différentes classes que je rencontrerai !
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