Alors qu’il a réussi à amener la fille de ses rêves jusqu’à la plage pour finir la soirée, Vince découvre un corps dans le coffre arrière de sa voiture. Ce serait flippant pour n’importe qui, mais Vince est un habitué de ces inconvénients : même s’il refuse de tremper dans ces magouilles, l’adolescent est tout de même le fils du Parrain de la Mafia. Et les choses se compliquent encore plus quand Vince tombe amoureux de la fille d’un agent du FBI et que les subordonnés de son père tentent de s’attirer sa pitié, l’entrainant dans des aventures qu’il s’était pourtant juré d’éviter…
Se voulant réaliste, quoique les péripéties sont parfois à la limite de l’invraisemblable, le roman se caractérise particulièrement par son humour. Vince est un narrateur pince-sans-rire qui aborde le quotidien d’un fils de Mafieux ainsi que les déboires amoureux d’un adolescent de front. Quoiqu’assez costaud,
Mon père est un parrain est très accessible et pourrait rejoindre même les lecteurs débutants.
Mon avis
C’est très divertissant! Difficile de se reconnaître dans le personnage principal vu tout ce que Vince est amené à vivre grâce aux affaires « de distributeurs automatiques » de son père, mais l’adolescent reste quand même très ancré dans le réel et sa relation avec Kendra ainsi qu’avec son meilleur ami sont tout à fait plausibles.
J’ai pensé à la série des Sopranos pour le côté très humain derrière la façade de la Mafia et j’ai vraiment eu un bon moment de lecture.
En bref? Ce roman ne se prend pas au sérieux, est fort divertissant et pourrait accrocher plusieurs lecteurs réticents!
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Un cadavre de classe.
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