Attention, ce livre est le deuxième de la série. Ne gâchez pas votre plaisir et commencez par le premier, Plus encore que la vie !
Kate et Vincent ont anéanti le chef des Numa, mais si les ennemis des Revenants semblent beaucoup plus calmes depuis un moment, le danger couve toujours. Charlotte et Charles étant partis pour permettre à ce dernier de se remettre des événements précédents, deux nouveaux pensionnaires viennent loger chez Jean-Baptiste, dont un qui ne semble vraiment pas apprécier qu’une humaine se retrouve dans son entourage. Alors que Vincent souffre afin de résister à ses pulsions, Kate se retrouve bientôt au centre d’une guerre qu’elle n’avait pas vu venir…
Deuxième tome de la série, Que la mort nous sépare aborde les sacrifices faits par amour ainsi que la question du racisme. Entre action et émotion, le lecteur est entrainé de nouveau dans les rues de Paris et gardé captif par les dialogues punchés qui aèrent le récit.
Mon avis
Je ne peux nier qu’à la fin de ce deuxième tome j’ai toujours une envie très forte de lire la suite, mais je dois dire qu’il m’a beaucoup moins plu que le premier. J’ai aimé en découvrir davantage sur l’histoire des Bardias, les Revenants dont font partie Vincent et Jean-Baptiste, j’ai apprécié aussi les échanges colorés entre les personnages (et je suis tombée en amour avec Jules…) et j’ai succombé au charme de Paris, mais…
Mais il y a moins d’action dans ce deuxième livre et le tout est un peu prévisible, sans compter une héroïne que j’ai parfois eu de la difficulté à comprendre (Kate est obnubilée par la mort de ses parents, mais pourquoi ne contacte-t-elle toujours pas ses amis de Brooklyn? Pourquoi refuse-t-elle tout de même de voir Vincent mourir tout en sachant qu’il revient à la vie? Et surtout, pourquoi, se sachant en danger, va-t-elle se promener sans protection?) et un Vincent qui a perdu de sa superbe en devenant un peu trop mielleux et amoureux. Déception, donc, que la fin confirme malheureusement. Un mélange de déjà vu et de facilité qui n’est pas à la hauteur de la qualité de la plume de l’auteure.
En bref? Un bonbon pour filles et grandes romantiques, mais une intrigue nettement moins bien construite.
Si vous avez aimé, vous pourriez être tenté par Le livre de Saskia.
Merci aux éditions Milan pour le bouquin (et à Thomas pour la rapidité avec laquelle il a nourri mon désir de le lire!)!
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