Bonne année ! 2020, déjà, c’est fou ! Dans un an, ce sera nos dix ans. Neuf années donc qu’on vous propose des lectures, qu’on fait des liens entre les livres, qu’on essaie de vous faire découvrir toutes les semaines des titres qui pourraient vous donner envie de tout arrêter pour prendre le temps de lire. C’est presque vertigineux !
2019 fut une année bien remplie, à la fois de lectures enlevantes, de projets géniaux et de rencontres stimulantes, mais aussi de toutes ces petites choses qui font la vie et qui ont parfois fait en sorte que j’ai manqué de rigueur dans mes publications. Qu’à cela ne tienne, 234 billets ont été mis en ligne sur Sophielit.ca, dont 31 coups de cœur. De quoi trouver votre compte, je crois bien !
En cette première journée de 2020, fidèles à nos habitudes, voici nos « Sophielit », la crème de la crème !
Pour la beauté de mots et des phrases : Nos mains en l’air
Pour les frissons : Rivière-au-cerf-blanc et Dix
Pour la magie : Magic Charly
Pour la réflexion sur notre rapport aux autres, à la foi comme personne et comme société : Un peu plus près des étoiles et Félines
Pour la justesse du point de vue sur le début de l’adolescence et du secondaire : Peigner le feu
Pour l’équilibre entre émotions et visuel : Opératique
Et trois albums coups de cœur, fort à la fois dans leur construction et leur propos : Les étoiles, Quelqu’un m’attend derrière la neige et Kid
Pour l'intensité et l'angoisse omniprésente : Les loups ne se mangent pas entre eux
Parce qu'il vient réveiller notre capacité d'émerveillement : L'aventure de Castle Rock
Pour l'originalité et l'efficacité du récit historique : L’éblouissante lumière des deux étoiles rouges
Pour la qualité de la projection dans le futur : L'ère de l'Expansion
Pour la maitrise de la langue et la création de moments savoureux : Dans le coeur de Florence
Pour l'amalgame parfait entre drame et humour : Je t'aime beaucoup cependant
Pour l'originalité du dessin et du récit : Beastars
Pour la douceur et la simplicité de l'histoire : Après la pluie
Pour l'ambiance anxiogène et la construction du récit : Les liens du sang
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